L’étymologie du mot deuil est « passage à travers la souffrance ». Dans ce passage, il y aura bien sûr de la souffrance, mais il y aura aussi toutes sortes d’émotions y compris la gratitude, le soulagement, la paix, et même possiblement un sentiment de délivrance.
Que vous soyez bénévole ou proche aidant, vous êtes une personne significative pour la personne aînée que vous avez accompagnée. Le deuil que vous vivez sera intimement lié à votre niveau d’attachement, à l’intensité et à la nature de votre relation. Sachant que ce deuil peut parfois faire ressurgir nos anciens deuils et en raviver la peine, il est également possible de trouver des solutions, des clés, qu’on peut utiliser pour apaiser la souffrance et s’en sortir.
S’informer sur le sujet et échanger avec des personnes attentionnées sont deux stratégies, parmi d’autres, qui vous permettront de vivre ce passage le plus sereinement possible.

Valeur et richesse de l’accompagnement
Il va sans dire qu’ être bénévole ou être proche aidant engendre de nombreux bénéfices humains entre autres, cet engagement permet de créer de nouveaux



