Il va sans dire qu’ être bénévole ou être proche aidant engendre de nombreux bénéfices humains entre autres, cet engagement permet de créer de nouveaux contacts, développer de nouvelles habiletés et compétences comme la capacité d’écoute, augmenter la confiance en soi, et améliorer la santé physique, émotionnelle, cognitive et sociale.
L’article de Marie-Hélène Alarie dans le Devoir du 25 mai 2019 indique que, selon un rapport du Conseil national des aînés du Canada sur le bénévolat chez les aînés et le vieillissement positif et actif, « plus des deux tiers des bénévoles du Canada ont déclaré que le bénévolat leur avait apporté des aptitudes interpersonnelles ». Le rapport poursuit en affirmant que « le bénévolat renforce les réseaux sociaux, améliore l’accès à l’information et réduit la probabilité d’isolement ».
Dans un autre rapport de l’Agence de la santé publique du Canada, on y apprend que le bénévolat peut même aider les aînés « à passer à travers les principales transitions de la vie, notamment la retraite ou le décès d’un époux ou d’un être cher ». Dans cette fiche, nous voulons valoriser les gains et les bienfaits de cet engagement qui, bien vécu, peut être si enrichissant.
